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jeudi 6 août 2015

Tellement encore à accomplir, mais que du bonheur

   En vacances à la montagne où nous étions il y a 10 jours (magnifique, temps superbe), je me suis sentie libre et inspirée dans cet écrin de nature. Du coup, j'ai beaucoup avancé sur mon livre (un chapitre entier de 30 pages), mais pas autant que je l'aurais voulu.
   J'ai l'impression qu'il y a encore tant de travail à accomplir... Pourtant j'adore faire durer le plaisir, mais j'ai aussi d'autres projets qui attendent.

   De retour, j'ai effectué quelques recherches complémentaires sur les lieux de l'action, où je vais d'ailleurs me rendre début septembre. Je dois vérifier certains éléments et j'ai de toutes façons besoin de "sentir" l'endroit, de le voir vivre.  J'y suis déjà allée, il y a un certain temps, mais je n'avais pas le même œil, les mêmes intentions. A cette occasion, je l'espère — me connaissant,  j'aurais peut-être des inspirations qui viendront s'ajouter pour étayer l'histoire, des précisions géographiques qui crédibiliseront le récit. Je suis enchantée de pouvoir faire cela, je m'en délecte d'avance, et je compte bien procéder ainsi pour chacun de mes futurs autres romans. Depuis que j'écris, c'est la première fois que je passe à l'acte. Je pense que c'est essentiel de savoir de quoi l'on parle.

   En ce moment, je suis en proie au doute, à me demander si je ne me suis pas trop attardée sur certains passages (que du coup, je retravaille en partie), si je n'ai pas trop allongé certains chapitres...?
   C’est la raison pour laquelle j'ai hâte d'en finir : j'ai besoin de laisser passer le temps du recul pour le travail de relecture, d'amélioration, et enfin de correction par mes correctrices.
   Une éternité pour moi... Mais du bonheur à vivre.